
Articles récents de ce contributeur

Pourquoi une approche mondiale à l’égard des obligations est maintenant encore plus sensée
Les divergences entre les banques centrales pourraient présenter de nouvelles occasions aux investisseurs en titres à revenu fixe qui diversifient leurs placements dans d’autres marchés que leur marché national.

Diminution progressive? Oui. Crise de liquidité? Probablement pas.
Dans l’ensemble, les marchés émergents sont mieux positionnés pour résister à une désexpansion monétaire qu’en 2013.

Pourquoi certains marchés émergents mènent le bal et relèvent les taux
La politique monétaire des marchés émergents pourrait offrir des occasions aux investisseurs qui cherchent à élargir leurs horizons.

La progression du dollar canadien a-t-elle atteint son apogée?
Il est difficile d’envisager que le dollar canadien puisse continuer de devancer le dollar américain, et encore moins rivaliser avec lui à court terme.

Comment le dollar canadien se positionne-t-il?
Les conditions actuelles pourraient favoriser les monnaies sensibles à la croissance, mais compte tenu de la multitude de facteurs à l’œuvre, il semble préférable d’éviter de mettre tous vos « œufs » dans le même panier de devises.

Le dollar américain a-t-il perdu son avantage?
Il est temps de réévaluer la position de la devise la plus puissante du monde, de même que son rôle au sein d’un portefeuille diversifié à l’échelle mondiale.

Comprendre la volatilité des marchés des devises
Tom Nakamura, vice-président, Stratégie de devises, et cochef de l’équipe des titres à revenu fixe AGF, fait le point sur les marchés des devises, à l’heure où les investisseurs sont dépassés par l’incidence de la pandémie de COVID-19.

À quoi sert de faire la guerre des devises?
Tom Nakamura, spécialiste de la stratégie des devises et cochef de l’équipe des titres à revenu fixe, traite de l’intervention potentielle des États-Unis qui espèrent faire baisser leur devise.

La Fed abandonne sa politique accommodante, du moins sur papier
Si la Réserve fédérale des États-Unis (la Fed) ne qualifie plus sa politique monétaire d’« accommodante » dans ses communiqués, elle conserve des objectifs relativement inchangés en ce qui concerne les prochaines hausses du taux directeur.